Jean Sablon
Aujourd'hui j'ai découvert qu'il y avait une allée jean sablon dans ce coin de paris ou je ne vais jamais, je n'ai pas croisé une personne de moins de 80 piges et tout sentait la naphtaline bourgeoise et compassée, les immeubles haussmanniens comme confit par le fric, semblaient eux-mêmes ne plus savoir si une quelconque âme respirait encore, si la vie existait encore dans le déprimant seizième arrondissement.